Captain-cookie

C a p t a i n - c o o k i e

Vendredi 3 février 2012 à 0:43

On lit ou on écrit de la poésie non pas parce que c'est joli. On lit et on écrit de la poésie parce que l'on fait partie de l'humanité, et que l'humanité est faite de passions. La médecine, le droit, le commerce et l'industrie sont de nobles poursuites, et elles sont nécessaires pour assurer la vie. Mais la poésie, la beauté, l'amour, l'aventure, c'est en fait pour cela qu'on vit. Pour citer Whitman : « Ô moi ! Ô la vie ! Tant de questions qui m'assaillent sans cesse, ces interminables cortèges d'incroyants, ces cités peuplées de sots. Qu'y a-t-il de beau en cela ? Ô moi ! Ô la vie ! ». Réponse : que tu es ici, que la vie existe, et l'identité. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime... Quelle sera votre rime ? 

Tout ça avait pour but d'illustrer le péril du conformisme, et la difficulté de préserver vos convictions, quoi qu'en pense les autres. [...] Nous avons tous besoin d'être accepté, mais soyez persuadé que vos convictions sont uniques, les vôtres, même si on les trouve anormales ou impopulaires, même si le troupeau dit « C'est maaaaaaaaal ». Robert Frost a dit : « Deux routes s'offraient à moi, et là j'ai suivi celle où on n'allait pas, et j'ai compris toute la différence. » 

Charlie : Académie Welton, allô. Oui, il est là, un instant. Monsieur Nolan, c'est pour vous. C'est Dieu ! Il exige qu'il y ait des filles à Welton !  

Sucez la moelle de la vie, oui, mais n'avalez pas l'os. On doit savoir défier et savoir se méfier. Le bon marin doit savoir louvoyer. [...] C'est Dieu qui téléphone, tsss. Ah si ça avait été en PCV, là je m'inclinais. 

John Keating : Monsieur Dalton, vous ne participez pas ?
Charles Dalton : Je fais valoir mon droit à l'immobilité.
John Keating : Merci, Monsieur Dalton. Clair, succinct... Bien. Vous nagez à contre-courant. 

John Keating : Ça y est, et oui il y a un barbare qui dort en vous. Mais maintenant, non ce n'est pas fini, le jeu n'est pas fini. La photo de l'oncle Walt, là haut, à quoi elle vous fait penser ? Allez, allez, sans réfléchir, vite !
Todd Anderson : Euh, à, à un fou.
John Keating : Quel genre de fou ? Dites, allez, sans réfléchir !
Todd Anderson : Un fou un peu dément.
John Keating : Mais non voyons, trouvez mieux que ça. Libérez votre esprit, essayez de l'imaginer, dites ce qui vous passe par la tête, allez, même si c'est une absurdité.
Todd Anderson : Un fou avec les dents qui transpirent.
John Keating : Bon sang, mais c'est de la poésie que vous faites, Todd. Fermez les yeux. Voilà, voilà, on ferme les yeux. Décrivez ce que vous voyez.
Todd Anderson : J'ai les yeux fermés.
John Keating : Oui ?
Todd Anderson : Et son image flotte près de moi.
John Keating : Le fou aux dents qui transpirent ?
Todd Anderson : Oui, le fou aux dents qui transpirent avec un regard qui perce mon front.
John Keating : Oh mais c'est excellent. Mettez-le en mouvement. Que fait-il ?
Todd Anderson : Il essaie de m'étrangler, il tend les mains.
John Keating : Très bien, oui, oui, très bien !
Todd Anderson : Il n'arrête pas de marmonner.
John Keating : Qu'est-ce qu'il marmonne ?
Todd Anderson : Il marmonne des choses. Que la vérité est comme une couverture qui vous laisse les pieds froids.
John Keating : (la classe rit) Oubliez les autres, ils n'existent pas. Cette couverture, dites m'en plus. Parlez-moi d'elle.
Todd Anderson : On a beau tirer dans tous les sens, y en a jamais assez. On la tire, on la pousse, et elle est trop petite pour nous tous. Du moment où on entre en gémissant au moment où on part agonisant, on se cache sous la couverture, et on pleure, on crie, et on se meurt.
John Keating : N'oubliez jamais ça. 

Robin WilliamsLe Cercle des poètes disparus (1989), écrit par Tom Schulman  

Je partis dans les bois car je voulais vivre sans me hâter, vivre intensément et sucer toute la moelle secrète de la vie. Je voulais chasser tout ce qui dénaturait la vie, pour ne pas découvrir, à l'heure de ma mort, que je n'avais pas vécu. 
Henry David Thoreau 

http://captain-cookie.cowblog.fr/images/deadpoetssociety.jpg

Vendredi 3 février 2012 à 0:29

  Can anybody out there hear me?
'Cause I can't seem to hear myself
Can anybody out there see me?
'Cause I can't seem to see myself...
There's gotta be a heaven somewhere
Can you save me from this hell?
Can anybody out there feel me?
'Cause I can't seem to feel myself

http://captain-cookie.cowblog.fr/images/jaredletodangereuxphotoshoot427x640.jpgPIx : Jared Leto ~ 

Vendredi 3 février 2012 à 0:20

- Say goodbye to angel dust, the only angel that you trust.
- Tell me what you wanna know, oh come on, oh come on. 
- He talks like a gentleman like you imagined when you were young. 
- Are we human, or are we dancer ?
- Tu vas voir, on va s'amuser mon gars. Enfin, surtout moi. 
- J
e sais pas si j'aurais envie de te revoir. Tu vois, après maintenant 2 ans presque de ce qu'on peut appeler entre guillemets "une amitié", tu me déçois tellement. Et puis, surtout, ne m'en parle pas P. J'en ai rien à foutre. 
- C. Quand est-ce que tu reviens ici ? Qu'on aille faire du shopping ensemble, se fumer une clope au parc, et boire à outrance. 
- See beauty everywhere.  Something's coming up, my friend. 
- On appellera notre chien Doug Doug Skippy Bob Dracula Perceval.
- Trust me. 
- When you're older you might understand.
- Discover, L.I.M.P 
- Me gusta la marijuana, me gustas tu. 
- Et je sais ta vie, je sais ta douleur. 
- Wouldn't be good enough, for me no.
-
I'm sexy and I know it. 

- AaRON - Seeds Of Gold (8)

But I need you now, to help me somehow. Well I'm scared to face it, this final kiss. But I know you'll remember it. 
You gave your best to me allow yourself to be free. It raids your memory. Still I'm sorry for failing. A time for change. Well I need you now to help me out. Well I'm scared to face this, a final kiss. But I know you'll remember it.

http://captain-cookie.cowblog.fr/images/l4864d96c10ed48e2983975820f94b6c0.png

Jeudi 2 février 2012 à 11:15

 Quand tu sera sur ton lit de mort, personne ne viendra te pleurer. Et si tu dois t'y allonger prématurément, que tu préviens la Terre entière, personne ne viendra te pleurer. Parce que personne ne te croira. Moi-même je ne te croirai pas, non, pas une seconde fois.  
Tu sais, je pense qu'on se connait depuis trop longtemps maintenant. Je pense qu'on se connait depuis trop longtemps pour que tu me dise "je ne pensais pas que tu viendrais". 
Tu ne me connais plus, tu ne m'a jamais connu, moi non plus. Je te souhaite de te réveiller un jour ou l'autre.  Tu sais, elle est heureuse, vraiment heureuse.

Elle me dit T, elle me dit "Je crois que j'ai trouvé le bon !" ou "Je crois que suis amoureuse, E." ou bien "On va s'installer ensemble à St Etienne l'année prochaine". C'est bon de la voir comme ça. Et tu sais, elle m'a demandé si moi aussi j'étais amoureuse de lui. Et j'ai dis oui. Tu te rends compte ? J'ai dis oui. Oui je suis amoureuse de lui, je porte sa bague à l'annulaire de ma main gauche. Si tu savais comme elle est belle. Pauvre petit con, si tu savais comme je suis heureuse. Si tu savais comme il est tout ce que personne n'a été avec moi, même pas toi.

S
i tu savais comme c'est bon de revivre au creux de ses reins. Si tu savais comme il est prévenant et spontané à la fois. Si tu savais comme il est vivant, ambitieux, aimant, attentionné. Si tu savais comme la liste pourrait être longue et comme les palpitations me viennent au fond du coeur quand il sourit, quand il me sourit. 


" But she's touching his-chest, now, he takes off her dressNow, let me go. I just can't look its killing me, and taking controlJealousy,  turning saints into the seaSwimming through sick lullabiesChoking on your alibisBut it's just the price I payDestiny is calling meOpen up my eager eyes 'cause I'm Mr Brightside "

http://captain-cookie.cowblog.fr/images/BrandonFlowers.jpgPIx:  Brandon Flowers ~ 
 

Vendredi 23 décembre 2011 à 23:18

  Aujourd'hui, il m'a présenté une bague en or blanc avec un diamant.
Aujourd'hui j'ai dis "I do". 

<< Page précédente | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | Page suivante >>

Créer un podcast